tag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post3923710362963072713..comments2024-01-24T03:31:58.713+01:00Comments on Projet relationnel: Nous, citoyens belges de confession musulmane... Juste une mise au pointChris-tophe Engelshttp://www.blogger.com/profile/09164469489882131033noreply@blogger.comBlogger2125tag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post-88658841788055343402015-02-02T13:40:22.434+01:002015-02-02T13:40:22.434+01:00L'enfant entre bien et droit
Il y a 25 ans, l...L'enfant entre bien et droit<br /><br />Il y a 25 ans, le 20 novembre 1989, l’ONU promulguait la Convention Internationale des Droits de l’Enfant, ratifiée par tous ses membres sauf les Etats-Unis et la Somalie. Cette convention constitue l’aboutissement d’un long parcours de ‘libération des enfants’ et de reconnaissance de leur statut de sujets au même titre que les adultes et, comme eux, porteurs des mêmes droits et des mêmes libertés. L’enfant détient non seulement le droit à être écouté, soigné, éduqué, protégé, il détient surtout le droit à être soi-même, à affirmer ses opinions, à décider de sa vie. Ce bouleversement dans la relation à l’enfant ne va pas sans quelques tensions. La première oppose une vision de l’enfant comme être vulnérable, à protéger et celle de l’enfant acteur, dont le pouvoir d’action et de réflexion est à renforcer. Comment concilier protection et liberté ? Dans la relation de soin, par exemple, est-il convenable de prendre en compte la parole de l’enfant et le consulter avant la mise en route d’un traitement ou de le mettre à l’abri de la décision et le protéger d’une forme de responsabilisation ? Si certains pointent les risques d’une dimension contractualiste dans le rapport démocratique à l’enfant (par exemple une plus faible légitimité de l’adulte dans la relation éducative), d’autres soulignent que la convention n’est pas imposée du haut des institutions internationales, mais elle relève déjà d’une mise en question de l’autorité adulte et de luttes que les enfants ont menées : tels les combats visant non pas à éliminer le travail enfantin, mais à en améliorer les conditions et à reconnaître aux plus jeunes un statut de travailleur. <br /><br />La convention nous défie alors sur la définition même d’enfance. Est-ce du même 'enfant' dont on parle quand il/elle est soldat, élève, travailleur, jeune mariée ? Comment concilier des droits en principe universels et des constructions locales, historiques et contextuelles de l’enfance ? Les préconisations de l'ONU émergent à partir des living rights (des droits vécus et issus de l’expérience) et font l’objet d’une double transposition: une codification dans le droit international et, en retour, des interprétations, appropriations, négociations et mises en œuvre différentes selon les situations et les acteurs. Ces effets multiples de traduction ne vont pas sans conflits. <br /><br />Un troisième point de friction, enfin, relève d’une vision concomitante de l’enfant comme fin et instrument, figure du sujet par excellence et maillon du groupe témoignant, par sa bonne conduite et son bon développement, la justesse d’un fonctionnement social. Notre société confère à l’enfant une valeur sacrée : il constitue l’objet d’une passion sans précédents et le dernier avatar du processus d’individualisation. A l’aune de l’enfance on ‘mesure’ l’efficacité des systèmes scolaires, la santé de la population, la tenue des relations intergénérationnelles, la validité des nouveaux modèles familiaux. L’idée de « bien de l’enfant », toutefois, si souvent mobilisée dans les controverses sociétales, risque de devenir une rhétorique morale et politique polysémique, toujours évoquée et jamais définie. Ces discours empreints d’affects et d’inquiétude constituent le support de nouveaux jugements normatifs qui peuvent être en décalage par rapport aux besoins, aux pratiques, aux attentes des enfants réels, dans la diversité de leurs conditions de vie et de leurs relations sociales. <br /><br />Nicoletta Diasio, Professeure, Faculté des Sciences Sociales, UMR 7367 Dynamiques européennes, Université de Strasbourg<br /><br />http://ethique-alsace.unistra.fr/uploads/media/82_Lettre_CEERE_fevrier_2015.pdf<br />ceere@u-strasbg.fr - tél. +33 (0)3 68 85 39 68<br />http://ethique-alsace.unistra.frAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post-47668515310456531712015-01-30T11:45:28.017+01:002015-01-30T11:45:28.017+01:00Bonjour,
En novembre de cette année, le livre qu...Bonjour, <br /><br />En novembre de cette année, le livre qui raconte mon histoire ( Extra Muros, les métamorphoses d'un voyou ) va passer en justice pour le faire interdire en Belgique et dans les écoles.<br />Les " Mathu-Versmissen " de Braine l'Alleud ( ils sont 4 à déposer plainte ) ne sont pas contents du livre et demande jusqu'à 15.000 euros de dommages et intérêts.<br />Je n'ai pas pu trouver d'avocat pour me défendre, ils veulent tous des sous et j'en ai pas !<br />Je n'ai pas pu trouver non plus de journaliste pour donner un écho à cette affaire.<br />Mon histoire n’intéresse pas...<br />Le seul qui ai accepté de parler de cette affaire est un jeune journaliste<br />que j'ai connu pendant ses études. Il s'appelle Alexy Seny.<br />Et voici ce qu'il a écrit, c'est en 2 partie. Il en a fait un conte de Noël !<br />Première partie...<br />https://branchesculture.wordpress.com/category/interviews/<br />Deuxième partie...<br />https://branchesculture.wordpress.com/2014/12/26/serge-thiry-conte-noel-extra-muros-crime-resilience/<br />Il est clair que je compte défendre ce livre envers et contre tout.<br />C'est un livre pour sensibiliser, pas un règlement de comptes !<br />Qui veut m'aider ?<br />J'ai tenté de parler à ces gens, mais ils vont directement à la police déposer plainte pour<br /> " harcèlement ". <br />J'ai déjà 3 plaintes contre moi...<br />Pourquoi le livre dérange t'il tellement ces gens ?<br />http://extramurosasbl.123website.be/<br /><br /> S.O.S<br />Merci, même si vous ne pouvez rien faire pour moi.<br />Carpe Diem.<br />Serge Anonymousnoreply@blogger.com