tag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post5834031632651261310..comments2024-01-24T03:31:58.713+01:00Comments on Projet relationnel: Courants de pensée et modes de vie émergents (27) Militants et méditants: improbables passerellesChris-tophe Engelshttp://www.blogger.com/profile/09164469489882131033noreply@blogger.comBlogger3125tag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post-8575573832363258422014-04-17T11:36:05.593+02:002014-04-17T11:36:05.593+02:00./...
La réduction aveugle des subventions est un ..../...<br />La réduction aveugle des subventions est un non-sens, car la suppression des actions de prévention et de lien social génère des coûts bien supérieurs de maladie, de sécurité, d’action de réparation, etc…. Le coût des cotisations sociales perdues et des prestations de chômage induites par les licenciements est supérieur au montant des subventions supprimées. Uniquement préoccupés par leurs effets d’annonce et une vision court-termiste, les pouvoirs publics ne semblent plus s’intéresser à la globalité des choses. Leur seul objectif : appliquer l’idéologie de ce capitalisme libéral dominateur en France, dans l’Union Européenne et dans le monde.<br /><br />Face à ces décisions inacceptables, nous appelons les associations, en lien avec les collectivités et tous les acteurs qui partagent les mêmes valeurs d'égalité, de liberté, de fraternité et de démocratie, à se mobiliser par tous les moyens, avec leurs bénévoles, leurs salariés, leurs adhérents et usagers, pour résister à leur asphyxie et à la dégradation continue de nos conditions de vie ensemble.<br /><br />Nous demandons la mise en œuvre de politiques publiques concertées prenant en compte tout le tissu associatif et pas seulement quelques milliers de grosses associations, la restauration de relations avec les acteurs publics fondées sur le partenariat et non sur la commercialisation de prestations, le retour à des financements publics stables et garantis aux associations qui contribuent à l’intérêt général et au bien commun. « La reconduction à l'identique de la circulaire Fillon du 18 janvier 2010, qui tend à réduire les associations à un simple acteur économique, constituerait en l’occurrence une atteinte de plus à la vie associative » déclare Didier Minot, porte-parole du CAC, ajoutant qu’une mobilisation spécifique sur ce dossier était lancée.<br /><br />Les associations citoyennes refusent le désastre social qui attend la France au bout de cette course à l’austérité (aggravant les déficits publics), expérimenté dans d’autres pays européens comme le Portugal, l’Irlande ou la Grèce, et dans plus de 80 pays depuis 30 ans. Rester silencieux aujourd’hui à ce sujet, c’est faire courir un risque majeur à notre pays à brève échéance.<br /><br /><br />Le Collectif des associations citoyennes<br /><br />www.associations-citoyennes.net et www.nondisparitionassociations.net<br />Contact : Isabelle Boyer au 0(033)7 70 98 78 56, contact@associations-citoyennes.net<br />CAC : Chez Peuple et Culture, 108 rue Saint-Maur 75011 ParisAnonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post-2344610082706593392014-04-17T11:35:05.128+02:002014-04-17T11:35:05.128+02:00Nous refusons le désastre social qui s’annonce...
...Nous refusons le désastre social qui s’annonce...<br /><br />L'avenir ne se construira pas sans les associations citoyennes !<br /><br /><br />Le premier ministre français a annoncé la réduction des dépenses publiques de 50 milliards en 3 ans et de 11 milliards de la dotation de l'État aux collectivités d’ici 2017 (soit 3 milliards par an). Ces décisions auraient pour conséquence, si elles sont appliquées, la disparition de très nombreuses associations et de dizaines de milliers d’emplois associatifs. La diminution du montant des dotations publiques constitue en effet la principale variable d’ajustement laissée aux collectivités territoriales pour compenser la perte de leurs ressources tout en maintenant les crédits destinés à exercer leurs compétences obligatoires.<br /><br />Ce gouvernement, comme les précédents, semble ignorer que les richesses produites par la très grande majorité les 1 300 000 associations sont constituées avant tout de développement humain, de démocratie et de participation à la vie de la cité, de renforcement du lien social et d'épanouissement des personnes. Paradoxalement, cette annonce tombe au moment même où le premier ministre affirme qu’il a besoin des associations pour gagner la bataille de l'emploi et reconstruire l'espérance, notamment dans les quartiers et les territoires ruraux ou périurbains où le désarroi gagne chaque jour du terrain.<br /><br />Les ruptures de financements publics ont des conséquences extrêmement graves pour les associations :<br />- un recul général de leurs capacités d'agir, y compris pour celles dont l'action ne repose que sur l'engagement bénévole,<br />- une forte dégradation des conditions de travail, tant pour les salariés que les bénévoles,<br />- la destruction de dizaines de milliers d’emplois qualifiés, porteurs d’expérience et de savoir faire associatifs,<br />- leur remplacement partiel par des emplois précaires et sous qualifiés, souvent en substitution de services publics territoriaux détruits par ailleurs. En particulier la signature de milliers de contrat temporaires dit "emplois d'avenir", destinés à des jeunes peu qualifiés, ne saurait masquer durablement la réalité de ce plan social déguisé,<br />- la disparition des associations les plus porteuses de citoyenneté, de lien social et de coopération. Les associations petites et moyennes sont les plus frappées par ces mesures et par la multiplication des appels d'offres.<br /><br />À cette approche comptable s'ajoutent toutes les conséquences humaines et les souffrances que cela entraîne par la destruction progressive des liens sociaux.<br />./...<br />Anonymousnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-9104888315844261699.post-60981979006528362222014-04-15T11:28:08.891+02:002014-04-15T11:28:08.891+02:00Belgique
Au sommaire: « Les animaux et la transit...Belgique<br /><br />Au sommaire: « Les animaux et la transition » <br /><br />Les protagonistes de ce nouveau numéro d’Alors, on change ! ne sont pas que des hommes. Ce mois-ci, nous vous parlons de la relation à l’animal dans un monde en transition. Nous sommes tous responsables du monde dans lequel nous vivons : respecter l’animal, c’est respecter la vie. Nos 4 nouveaux témoins l’ont compris : ils vivent en harmonie avec leur environnement et réfléchissent aux conséquences de leurs actes. Leur objectif : offrir aux générations futures une planète où il fait bon vivre.<br /><br />Mourad est un des 60 débardeurs qui travaillent encore en Wallonie. Un métier d'un autre temps, d'un autre rythme, calqué sur le pas du cheval... Mourad n'a qu'une envie : partir tous les jours avec Carlos et ses 800kg de muscles pour extraire des troncs d'arbres de forêts inaccessibles en machine ou contribuer à la restauration du biotope particulier des Fagnes...<br /><br />Vétérinaire et président de l’asbl Planète-Vie, Yvan nous interroge sur notre consommation démesurée de viande produite de façon industrielle et sans respect pour l’animal. Yvan est le concepteur du documentaire LoveMeatender, primé aux Magritte, qui nous interpelle sur notre consommation aveugle de viande produite de façon industrielle. Un documentaire qu’il présente régulièrement dans les écoles et qui ne laisse jamais indifférent…<br /><br />André, lui, est éleveur et a refusé le modèle de production industrielle : depuis les années 90, il est à la tête d’une filière 100% bio qui a largement fait ses preuves. André était un précurseur à l’époque, mais il avait déjà la conviction qu’amorcer ce virage était vital pour sauver l’agriculture et permettre aux paysans d’assumer leur rôle : nourrir l’humanité et préserver la planète.<br /><br />Jan est un apiculteur heureux : ses ruches restent vigoureuses et échappent au dépérissement... Pourquoi ? Jan en est persuadé, c'est parce qu'il pratique l'essaimage naturel. Laisser les abeilles se reproduire dans leur environnement en suivant leur instinct c’est selon lui la meilleure garantie de maintenir des colonies fortes. Une attention qui demande beaucoup, beaucoup de temps... <br /><br />Sans oublier de nombreux autres contenus exclusifs visibles sur notre site web et notre page Facebook. N’hésitez pas à cliquer, aimer et partager !<br /><br />Retrouvez Alors, on change ! sur La Deux le mercredi 16/04 à 22h50 et sur La Trois le dimanche 20/04 à 19h00, mais aussi sur votre télé locale (No Télé, Télé MB, Canal Zoom, Canal C, TV Lux et Télé Vesdre) <br /><br />www.rtbf.be/alorsonchange<br />alorsonchange@rtbf.be<br />0(032)2 / 737 46 01<br /> <br />Philippe Pilate<br />Producteur Delegué TVAnonymousnoreply@blogger.com