Et qui demain?...
A l'heure où celui venu d'ailleurs 
se voit de plus en plus désigné
Histoire de nous démarquer 
de cette façon 
de le réduire 
à un problème et à une menace.
la dénonciation!
Histoire, surtout, de refuser toute complicité.  
«Dans une société française fragmentée par les injustices et les 
inégalités, certains désignent aujourd’hui l’étranger comme un bouc 
émissaire. 
Et demain qui ?  «Je n'ai rien contre les étrangers, mais...»
Par ce manifeste, nous affirmons et revendiquons notre soutien et notre solidarité à cet autre nous-même: l’étranger.
Nous ne voulons pas être complices de sa dénonciation comme un problème et une menace.
. Parce que cet étranger, c’est l’un de nous.
Un homme ou une femme, avec ou sans papiers, avec ou sans emploi, avec ou sans logement, mais toujours avec un nom et une histoire propre, comme chacun d'entre nous.
. Parce que cet étranger aspire à vivre dans la dignité et la sécurité. 
Il n’est pas acceptable que sa vie en France soit synonyme 
d’humiliations, de soupçons, de précarité et d’exploitation, de destin 
brisé par l’enfermement et l’expulsion.
      
. Parce que cet étranger est là, depuis toujours, et appartient à notre histoire.
Passeur de connaissances, contributeur à notre richesse culturelle, il est aussi le bâtisseur et le défenseur d’une France nourrie du mélange des idées et de la diversité de ses habitants.
La crise économique et sociale se moque des nationalités.
On est toujours l'étranger de quelqu'un
Citoyens du monde, nous sommes tous concernés par les désordres mondiaux qui peuvent conduire, un jour, un homme, une femme ou une famille à quitter son pays: déséquilibres macro-économiques, dérèglement climatique, conflits nationaux et internationaux.
Ensemble et unis, nous pouvons construire un avenir commun où chacun aura sa place.
Divisés et séparés, nous renions notre mémoire et notre humanité.
National-populisme: sans moi!
Les enjeux vont au-delà de la solidarité avec les étrangers.
Il en va, plus profondément, de l’avenir de notre société qui ne sera véritablement en paix avec elle-même que lorsqu’elle saura assumer et valoriser sa pluralité.
. Parce que cet étranger est là, depuis toujours, et appartient à notre histoire.
Passeur de connaissances, contributeur à notre richesse culturelle, il est aussi le bâtisseur et le défenseur d’une France nourrie du mélange des idées et de la diversité de ses habitants.
La crise économique et sociale se moque des nationalités.
On est toujours l'étranger de quelqu'un
Citoyens du monde, nous sommes tous concernés par les désordres mondiaux qui peuvent conduire, un jour, un homme, une femme ou une famille à quitter son pays: déséquilibres macro-économiques, dérèglement climatique, conflits nationaux et internationaux.
Ensemble et unis, nous pouvons construire un avenir commun où chacun aura sa place.
Divisés et séparés, nous renions notre mémoire et notre humanité.
National-populisme: sans moi!
Les enjeux vont au-delà de la solidarité avec les étrangers.
Il en va, plus profondément, de l’avenir de notre société qui ne sera véritablement en paix avec elle-même que lorsqu’elle saura assumer et valoriser sa pluralité.
Aussi, nous appelons à un changement profond de perspective
 pour sortir de cette mise en accusation permanente de l’étranger, 
convaincus que l’obsession sécuritaire dominante a fini par occulter 
toute alternative, toute possibilité différente de penser la mobilité 
des êtres humains. 
      
Sans angélisme ni naïveté...
Sans angélisme ni naïveté, nous croyons qu’il est possible et urgent de promouvoir d’autres relations et d’autres politiques.
Sans angélisme ni naïveté...
Sans angélisme ni naïveté, nous croyons qu’il est possible et urgent de promouvoir d’autres relations et d’autres politiques.
Par ce 
manifeste, nous voulons déjouer les peurs collectives qui nous 
paralysent.
Et inviter à une large mobilisation celles et ceux, français et étrangers, qui refusent de se résigner.» (1)(2)
Et inviter à une large mobilisation celles et ceux, français et étrangers, qui refusent de se résigner.» (1)(2)
(1) Ce message reprend le texte du manifeste de La Cimade, dont Projet relationnel est signataires. Les titre, chapeau et inter-titres sont de la rédaction. 
(2) Pour
 suivre (sous réserve de changement de dernière minute):
.
la suite d'une série de messages consacrés à l'immigration,
.
des analyses sur la social-démocratie et l'écologie politique
(après le libéralisme
ainsi que l'humanisme
démocratique qui, pour rappel, ont d'ores et déjà été
abordés).
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
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Belgique
RépondreSupprimerSiréas asbl vous invite à son festival Let’s Art Argentina !
Jeudi 27 novembre 2014 à 18h00 – à Muziekpublique – Square du Bastion, 3 à 1050 Bruxelles
Vernissage de l'exposition :
"Quais argentés et autres tangages de l’Humain"
Peintures de Didier Lange
Visite de groupe du 28/11 au 12/12 sur rendez-vous. Réservations au 0(032)2/274.15.50 ou par courriel : hvanderstraeten@sireas.be . Entrée gratuite.
Vernissage en présence de l’artiste.
à 19h00 – concert gratuit
Bruxelles Aires Tango Orchestra
Tous le programme du festival :
http://www.lesitinerrances.com/site/index.php?option=com_content&view=article&id=170:argentina&catid=52&Itemid=244&showall=&limitstart=1