vendredi 18 janvier 2013

Actu. Lubumbashi: doctotants en débrouille



L'Université de Lubumbashi?
Une ville dégradée
dans la ville délabrée.
Où il n'est pourtant pas question 
de broyer du noir.
Où il convient, au contraire, 
de saisir son destin à bras le corps.
Où il s'agit, donc, 
de chercher des solutions.
De là, une myriade d'efforts.
Que le réalisateur Ronnie Ramirez 
a voulu capturer.
Résultat: un film  
Misérabilistes Non Admis.
Qui sera projeté prochainement à Bruxelles.

Congo. 
Province du Katanga.
Ville de Lubumbashi. 
Une des plus grandes universités d'Afrique. 
Ici, le simple fait d'étudier relève du plus vertigineux des défis. 
Ici, ils sont quelques 25.000 étudiants à se bousculer sur un campus aussi désuet qu'indigent.
Ici, chacun s'est habitué depuis bien longtemps à l'idée d'avoir à concilier le sens de la débrouille à l'africaine aux exigences d'une rigueur toute académique. 
Une réalité paradoxale.
Un monde dichotomique.
Un univers tout en contradiction.
Que s'est donné pour but de faire découvrir le film Campus Kassapa...

Quatuor à cordes

C'est donc dans ce paysage improbable que s'est plongé le réalisateur Ronnie Ramirez.
Qui a eu recours au cadre en question pour dresser un quadruple portrait intime...
Celui de quatre étudiants. 
Celui d'un quatuor de jeunes gens motivés et courageux.
Celui de la corde sensible de chacun de ces porteurs de projets aux inquiétudes multiples et aux espoirs innombrables.
Avec, au bout du compte, une leçon de vie qui, loin de claquer comme un scoop, fait plutôt oeuvre de fort utile rappel: la société de demain passe par l'éducation d'aujourd'hui... 

En bref 
Quoi? 
Projection du film Campus Kassapa de Ronnie Ramirez (Belgique, 2010, 52 minutes).
Dans le cadre du cycle Cinématinées (moments d’échange convivial, autour d’une tasse de café). 
Qui? 
Un organisateur: le secteur Education Permanente du Service International de Recherche, d'Education et d'Action Sociale (Siréas). 
Où? 
Bibliothèque d’Ixelles
Rue Mercelis, 19
1050 Bruxelles
Quand? 
Mardi 29 janvier 2013, à 10h.
Combien?
Entrée gratuite 
Mais encore... 

(1) Pour suivre (sous réserve d’éventuelles modifications de dernière minute) :
. «Politique. L'opéra-bouffe.» (Michel Maffesoli),
. «L'art du politique.» (Michel Maffesoli), 
. «Politique. Fin de cycle.» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Le bal des poltrons.» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Ah, là là! Que d'émotions...» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Le tout de l'existence.» (Michel Maffesoli), 
. «Politique. Les mots pour le dire.» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Formes formantes ou formes formules.» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Utopia lex, sed lex.» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Enracinement dynamique.» (Michel Maffesoli),
. «Le politique sera populaire ou ne sera pas... Pessimisme de l'intelligence, optimisme de la volonté.» (Michel Maffesoli),
. «Politique. Le sens de l'ordinaire.» (Michel Maffesoli)... 

mardi 15 janvier 2013

Actu. L'éthique au soleil de l'Europe


L’été  à l'école?
Oui!
D'abord pour appréhender 
dans l'interdisciplinaire 
qui font l’Europe.
Puis pour dégager 
les traits saillants, 
les fondements 
et les valeurs 
d'une éthique 
fondatrice du lien social 
sur le Vieux Continent.
Ensuite pour exposer ceux-ci 
à d’autres cultures, non européennes.
Enfin pour en repérer les spécificités et les divergences.
Longue vie, donc, à l'Ecole d'été en éthique 
de l'Université de Strasbourg...

L’éthique, loin d’être un sanctuaire, n’échappe pas au grand marchandage de la globalisation.    
Un marchandage auquel s'apparente justement la mondialisation économique.
Qui ne s’accommode guère de la diversité. 
Et qui opère une recomposition continue des systèmes de valeurs.
Entraînant dans son sillage une multitude de tensions sociales...

Malentendus? Bien entendu!

En Europe, ces dissensions émanent essentiellement de l’influence grandissante d’une certaine philosophie dite américaine
Utilitarisme, pragmatisme ou même... principlisme: autant de concepts à bien des égards spécifiques au monde anglo-saxon.
Et qui s’acclimatent difficilement du voisinage des valeurs éthiques continentales. 
L’institutionnalisation de la solidarité?
Elle repose sur cette conception de l’humain qui est au fondement du modèle romano-germanique.
De quoi générer d’inévitables malentendus lorsqu’il s'agit de cohabiter avec la pensée philosophique venue d’outre-Atlantique...

Le pont de l'Atlantique  
 
Aujourd’hui pourtant, ces deux visions morales de la société revendiquent toutes deux une place prééminente au sein de l’Europe politique. 
Chacune cherchant donc à imposer ses propres paradigmes. 
Une compétition qui se déploie souvent à l’insu des citoyens. 
Il importe dès lors de révéler ce dialogue antagonique.
Et de souligner les particularités du modèle continental. 

Histoire de contribuer à construire des ponts entre la perspective européenne et le modèle anglo-saxon.

En bref
Quoi?
Ecole d'été en éthique.
Enjeux éthiques contemporains: perspective européenne.
Qui?
Centre Européen d’Enseignement et de Recherche en Éthique (CEERE), Université de Strasbourg, Eucor (l'Université du Rhin Supérieur), Karlsruhe Institute of Technology, Université de Lausanne, Ethos (plateforme interdisciplinaire d'éthique), Universität Münster, Universität Wien
Avec le soutien de la Région Alsace et de l’Université franco-allemande (UFA).
Quand?
Du 23 juin au 06 juillet 2013.
Où?
CEERE
Université de Strasbourg
22 rue René Descartes
67084 Strasbourg Cedex
Mais encore...
Date limite d’inscription: 1er février 2013!
CEERE
Fac. de médecine, 
4 rue Kirschleger, 
67085 Strasbourg cedex
Téléphone: 0(033)3 68 85 39 68
Courriel: ceere@unistra.fr

www.ethics.eucor-uni.org

samedi 12 janvier 2013

Actu. Le blues de l'Occident: pauvres de nous!





Et, avec lui, 
la France.
Et l'Europe.
Et l'Occident.
Extrait 
du Rapport 
sur la pauvreté
Celui-là même 
qui, récemment 
paru 
dans l'Hexagone,
permet
de se faire 
une idée 
du 
Et qui traite 
plus précisément
ici
de «L’évolution 
de l’opinion 
sur la pauvreté 
et les politiques 
sociales 
pendant les crises 
économiques» (1).

Extrait du Rapport du gouvernement sur la pauvreté en France

La première partie du rapport montre que la crise économique entamée en 2008 s’est accompagnée d’une détérioration du marché du travail et d’un développement de la pauvreté. 
Or, les crises économiques pourraient changer le regard des personnes qui y sont confrontées sur la pauvreté et les politiques sociales. 
L’opinion publique serait ainsi sensible à la détérioration du marché de l’emploi et à l’augmentation de la pauvreté, au point d’infléchir ses jugements sur l’aide aux plus démunis.
Pour confirmer cette hypothèse, cette partie mobilise les données de l’enquête «Conditions de vie et aspirations» du CRÉDOC qui suit chaque année, depuis 1979, un certain nombre d’attitudes et d’opinions relatives à la pauvreté, aux politiques sociales et aux risques supposés de déresponsabilisation individuelle des filets de sécurité sociaux. 
Elle s’intéresse à l’évolution de l’opinion publique durant la crise économique actuelle, tout en la comparant avec celle de 1993.
 
L’opinion publique? 
Généralement plus compatissante en période de crise 

Une manière d’appréhender la sensibilité de l’opinion à la conjoncture consiste à suivre l’évolution de la proportion de personnes qui considèrent que «les personnes qui vivent dans la pauvreté n’ont pas eu de chance» plutôt qu’elles «n’ont pas fait d’effort pour s’en sortir». 
 Au cours des 20 dernières années, cette proportion de personnes que l’on pourrait qualifier de «compatissantes» a toujours été majoritaire, comprise entre 60 % et 71 % (graphique 3).
Depuis le début des années 90 jusqu’en 2009, cet indicateur de «compassion» a toujours suivi positivement les variations du taux de pauvreté. 
Cependant, depuis 2009, on note une très nette inversion de cette co-variation et la proportion de ceux qui ne tiennent pas les individus en situation de pauvreté responsables de leur sort diminue alors que le taux de pauvreté augmente aussi. 
Ce retournement et cette baisse déclarée de l’empathie envers les personnes en situation de pauvreté monétaire sont en partie imputables au changement de regard sur les personnes relevant de la solidarité nationale.
Le RSA, en particulier, a introduit une notion de «contrepartie» (le champ «des droits et devoirs») à une aide qui doit alors se mériter et devient moins inconditionnelle.
L’idée que certains profitent du système de protection sociale est, elle aussi, de moins en moins répandue à mesure que la situation économique se dégrade. 
Un indicateur de l’enquête «Conditions de vie et aspirations» apparaît fortement relié dans le temps avec le taux de pauvreté: la proportion d’individus qui pensent que «si la plupart des chômeurs le voulaient vraiment, beaucoup pourraient retrouver un emploi». Ici, la corrélation est inverse: cette opinion progresse lorsque la conjoncture s’améliore et que le taux de pauvreté diminue; lorsque la pauvreté augmente, en revanche, la dénonciation d’un chômage volontaire est moins prégnante. 
On notera aussi que la proportion d’individus qui pensent «qu’il est plus avantageux de percevoir des minimas sociaux que de travailler avec un bas salaire» varie inversement avec le taux de pauvreté, de même que la proportion d’individus qui pensent que «le RSA risque d’inciter les gens à s’en contenter et à ne pas chercher de travail», plutôt qu’il ne «donne le coup de pouce nécessaire pour s’en sortir» (graphique 4).
Enfin, la demande d’intervention des pouvoirs publics pour aider les plus modestes semble très dépendante du contexte économique et social. 
Entre 1992 et 1995, la part des Français estimant que «les pouvoirs publics ne font pas assez pour les plus démunis» est passée de 63 % à 72 % (3); puis elle a décru pendant les années de croissance, jusqu’à 57 % au début des années 2000; et elle a à nouveau augmenté entre 2002 et 2007 pendant la période de ralentissement économique. 
Le lien est cependant moins clair depuis 2006: en effet, en 2007 et 2008, alors que le chômage diminue, la demande d’intervention se maintient à un niveau élevé; et depuis la crise de 2008-2009, l’attente vis-à-vis des politiques sociales est relativement moindre alors que le chômage a nettement progressé. 
Là encore, la tendance (politique et médiatique), à partir de 2009, à la stigmatisation des personnes relevant de la solidarité nationale a pu contribuer à l’inversion de la corrélation entre la conjoncture économique et le nombre de personne estimant que le financement de la solidarité est suffisant. 
Toujours dans le registre du soutien aux politiques sociales, la corrélation est importante entre le taux de chômage et l’opinion selon laquelle «faire prendre en charge par la collectivité les familles aux ressources insuffisantes leur permet de vivre», plutôt que «cela leur enlève tout sens des responsabilités». (1)

Extrait du Rapport du gouvernement sur la pauvreté en France

(1) Ce message reprend textuellement L’évolution de l’opinion sur la pauvreté et les politiques sociales pendant les crises économiques, partie 3 du Rapport du gouvernement sur la pauvreté en France, décembre 2012, pp.29-34

mercredi 9 janvier 2013

M. Barroso, n'oubliez pas d'être une conscience...


L'épistolaire 
Eric Watteau
interpelle 
à nouveau 
le Président 
de la
Commission 
européenne.
La réduction 
du budget 
européen d'aide alimentaire est une catastrophe
assène le Belge à l'adresse de José-Manuel Barroso.
Appelant l'Europe à se ressaisir...


Monsieur le Président Barroso,


Dans son édition du 29 et 30 décembre 2012, le journal Le Soir se fait l'écho de la protestation du directeur de la fédération des restos du cœur belges.

Celui-ci exprime son inquiétude la plus déchirante en ce qui concerne les orientations négatives prises par l'Union européenne dans la question de l'aide alimentaire aux plus démunis.

La réduction du budget européen d'aide alimentaire est une catastrophe. 

Cela implique une diminution supplémentaire de la couverture alimentaire dans une période de crise économique et sociale grave et préoccupante.

L'Europe doit se ressaisir. 

Elle développe ici une politique déplorablement égoïste qui ne passe pas auprès d'une opinion publique éclairée. 
C'est une trahison de la conscience humaine que de décider des politiques qui réduisent les droits à l'alimentation des plus démunis. 
C'est cruel, inhumain et dégradant de priver les nécessiteux de la possibilité de se nourrir.

Vivre riche est facile parce que le plus important des droits -celui de se nourrir- est automatiquement garanti. 

Vivre démuni est difficile car les besoins de base sont difficilement et souvent mal sinon pas rencontrés.

J'attends que la commission européenne prenne des décisions budgétaires pour revoir de manière costaude et à la hausse le budget de l'aide alimentaire.


L'Europe, cela doit aussi être du cœur. 

Et la paix européenne passe par un minimum de cœur, c'est-à-dire de respect des droits fondamentaux. 
L'Union européenne a reçu le prix Nobel de la Paix. 
Soit! 
Il faut montrer maintenant que cela se justifie à l'égard de ses citoyens les plus vulnérables.


N'oubliez pas d'être une conscience!


Cordialement


Eric Watteau


Copie à Monsieur Olivier De Schutter, rapporteur des Nations Unies sur le droit à l'alimentation

dimanche 6 janvier 2013

Actu. Homme postmoderne: la nouvelle donne



Et si toutes nos institutions fonctionnaient 
avec... un homme de retard? 
Et si les décideurs se trompaient 
sur les aspirations actuelles 
de la population.
Et s'ils se méprenaient en se référant 
aux besoins de l’homme idéal... 
d’un temps révolu?
Autant de questions dérangeantes.
Posées par Michel Maffesoli.
Le trublion de la sociologie 
a encore frappé... 

Quarante ans.
Quarante ans déjà que l’on nous parle de postmodernité. 
Qui, pourtant, a vraiment saisi ce qu'un tel phénomène impliquait pour chacun d’entre nous? 
Qui a assimilé qu’un homme fondamentalement différent était en train d’émerger?
Un homme relativisant la raison au gré de ses sentiments et de ses émotions.
Un homme dépassant son statut d’individu pour laisser place à une nature plurielle.
Un homme oubliant son devoir citoyen pour mieux se consacrer à sa tribu...

Un homme postmoderne, donc.
Dont l'une des spécificités est de délaisser l’essentiel de ce qui a fait son prédécesseur.

Cesser de penser avec un homme de retard

Cet homme postmoderne, le journaliste Brice Perrier (1) a demandé au sociologue français Michel Maffesoli (2) et à son équipe de chercheurs (3) d'en dresser le portrait.
Car nous changeons d’ère.
Il est donc temps de cesser de penser avec un homme de retard.
D'où ce livre. (4)
Qui a vocation à nous permettre de mieux comprendre qui nous sommes désormais...

(1) Brice Perrier, journaliste, collabore notamment à l’émission Strip-Tease. Il est l’auteur de Qui a peur du saint suaire ? (Florent Massot, 2011).
(2) Membre de l’Institut universitaire de France et professeur à la Sorbonne, directeur du Centre d’études sur l’actuel et le quotidien (Paris-V), Michel Maffesoli est l’auteur, entre autres, de La Part du diable (Flammarion, 2002), du Réenchantement du monde (La Table ronde, 2007) et de Homo eroticus, des communions émotionnelles (CNRS Éditions, 2012).
(3) Divers chercheurs du CEAQ ont contribué: Émilie Coutant, Aurélien Fouillet, Stéphane Hugon, Philippe Joron, Raphaël Josset, Fabio La Rocca, Anthony Mahé, Thierry Mathé, Yves Mirande, Gaspard Nuiter, Olivier Sirost, Hélène Strohl, Vincenzo Susca.
(4) Maffesoli Michel, L'Homme postmoderne , Bourin, Paris, 2012.

jeudi 3 janvier 2013

Enquête sur les Créatifs Culturels. Les fonds du fond


Il s'appelle 
Gwenhaël Blorville.
Il est doctorant en sociologie 
à l'université de Tours.
Et il mène actuellement 
une recherche 
sur les Créatifs Culturels.
Oui, mais...
Il ne dispose 
d'aucun financement.
D'où son appel. 

S.O.S. p'tits sous...  


«Bonjour Christophe!

J'ai découvert votre fabuleux blog "Projet relationnel" il y a peu et je me permets de vous envoyer une information qui, j'en suis sur, vous intéressera! 

Je suis doctorant en sociologie à l'université de Tours et je mène actuellement une recherche sur les Créatifs Culturels! 

Je m'intéresse à l'engagement dans des mouvements liés aux valeurs des Créatifs Culturels. 
Autrement dit, j'essaie de comprendre comment certains individus se font les relais de ces valeurs. 
Qu'est ce qui pousse certaines personnes à s'engager dans ces associations? 
Mon travail de terrain est déjà bien avancé et j'ai comme projet de réaliser une trentaine d'entretiens en France et en Europe.

Comme je manque de financement (vous vous doutez bien que ce type de recherche ne reçoit pas de financement!) je viens de lancer une campagne de soutien

L'argent récolté me servira uniquement à effectuer les déplacements que je vais faire pour les entretiens.

Pour en découvrir plus sur mon projet et éventuellement me soutenir, c'est ici: http://www.babeldoor.com/un-sociologue-pour-comprendre-les-creatifs-culturels

Pour en savoir plus sur moi: http://www.univ-tours.fr/acces-rapide/-blorville-gwenhael-206617.kjsp

L'éditeur des études américaine et française sur les Créatifs Culturels, Yves Michel,  relaie mon appel à soutien sur son site internet: http://www.yvesmichel.org/yves-michel/billets-des-invites/un-sociologue-pour-comprendre-les-creatifs-culturels

Pour me soutenir, plusieurs possibilités:
- la plus utile pour moi: un don (possible dès 5 euros!). 

Des contreparties sont proposées!!
- un message de soutien sur la page de mon projet (rubrique "commentaires", cela nécessite juste une inscription gratuite).
- faire circuler l'information autour de vous (amis, facebook...).

Seriez-vous d'accord pour diffuser cette information sur votre blog? 

J'ai vraiment besoin de soutien car je risque bien de ne pas pouvoir mener cette recherche jusqu'à son terme!

Je vous en remercie beaucoup par avance!

Gwenhaël Blorville
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