Et s'il ne s'agissait pas seulement
de condamner les phénomènes migratoires?
Et s'il convenait d'abord de s'informer à leur sujet?
De les découvrir?
De réfléchir à leurs multiples facettes?
De les approfondir?
D'en débattre?
Et de bousculer les clichés?
A Bruxelles, par exemple.
Du 12 au 28 mars.
Et s'il convenait d'abord de s'informer à leur sujet?
De les découvrir?
De réfléchir à leurs multiples facettes?
De les approfondir?
D'en débattre?
Et de bousculer les clichés?
A Bruxelles, par exemple.
Du 12 au 28 mars.
Conférences interactives, témoignages, concerts,
projections, ateliers, spectacles, expositions, espaces de discussion…
Trois semaines durant, le collectif DéCLiC y va de son Festival des Migrations, sur le campus
du Solbosch de l’Université Libre de Bruxelles (ULB).
L’occasion pour tout un chacun d’échanger sur la
place à donner aux migrations dans la société de demain.
«Nous formons le voeux que ce bouillonnement d’idées débouche sur des pistes de solutions concrètes, s'enthousiasment les organisateurs.
Raison pour laquelle nous invitons tout qui le désire à rencontrer des acteurs de terrain le jeudi 28 mars.
Puis à nous rejoindre au Forum ouvert.
Soit un laboratoire de réflexion sur les possibilités d’engagement et de changement des politiques migratoires.
Qui sera suivi d’une table ronde avec des personnalités politiques.»
Cerise sur le gâteau: toutes les activités seront gratuites.
Simplismes: en joue...
Ces dernières années, les phénomènes migratoires ont pris une place prépondérante dans le discours politique belge et européen.
Simplismes: en joue...
Ces dernières années, les phénomènes migratoires ont pris une place prépondérante dans le discours politique belge et européen.
Trop souvent
appréhendée de façon monolithique, la situation des migrants fait
l’objet d’innombrables stéréotypes et préjugés justifiant non seulement
des politiques répressives à leur encontre, mais aussi leur rejet de la
société.
Or, derrière ce terme de migration se cache une réalité bien
plus complexe aux facettes multiples et diversifiées.
«Nous pensons donc qu’il
est nécessaire d’ouvrir un débat autour de ces thématiques, explique-t-on du côté de DéCLiC.
C’est
pourquoi nous avons voulu organiser un événement au niveau de la communauté
universitaire dans l’objectif de sensibiliser les étudiants aux
questions soulevées par les phénomènes migratoires contemporains, en
facilitant des échanges ouverts et la réflexion entre une pluralité
d’acteurs.
Nous entendons mobiliser le secteur associatif, la communauté
universitaire comme le politique, donner la parole aux migrants, et
animer ainsi l’espace de l’ULB par des conférences, des débats, des
projections, des concerts, des expositions, des ateliers, et des tables
rondes.
Au-delà de l’étonnement et de la réflexion que nous espérons susciter, nous proposerons au public étudiant des pistes concrètes d’action et d’engagement.
Car ni la criminalisation ni les centres fermés, et encore moins les retours volontaires, ne sont des réponses humainement et socialement acceptables face aux phénomènes migratoires.»
Au-delà de l’étonnement et de la réflexion que nous espérons susciter, nous proposerons au public étudiant des pistes concrètes d’action et d’engagement.
Car ni la criminalisation ni les centres fermés, et encore moins les retours volontaires, ne sont des réponses humainement et socialement acceptables face aux phénomènes migratoires.»
Demander le programme...
. Des concerts.
. Des conférences.
. Du théâtre.
. Des projections.
. Des expositions.
. Des expositions.
Et ce...
. Et du 26 au 28 mars.
Le collectif DéCLiC
Le collectif DéCliC s’est construit
autour d’un groupe d’étudiants et d’anciens étudiants de l’Université Libre de Bruxelles qui, tous, partagent l’envie de réfléchir plus en
profondeur sur les nombreuses questions suscitées par les migrations.
«Certains d’entre nous ont d’ailleurs suivi de près les occupations de migrants au sein de l’ULB ou se sont engagés dans des projets militants.
«Certains d’entre nous ont d’ailleurs suivi de près les occupations de migrants au sein de l’ULB ou se sont engagés dans des projets militants.
Organisé dans le cadre juridique d’une ASBL, notre collectif s’appelle
DéCLiC–Déconstruction des Clichés et Liberté de Circulation.
D’horizons divers, nous souhaitons travailler ensemble, avec le soutien de l’université, afin d’ouvrir un débat au sein de la communauté universitaire et apporter une compréhension différente de celle largement admise par la pensée dominante.»
D’horizons divers, nous souhaitons travailler ensemble, avec le soutien de l’université, afin d’ouvrir un débat au sein de la communauté universitaire et apporter une compréhension différente de celle largement admise par la pensée dominante.»