jeudi 30 juin 2011

Actu. Chemins de bonheur...


Ensemble, créons des chemins de bonheur.
L'invitation est lancée
par l'Atelier Fédéral Spiritualité
de La Vie Nouvelle.
Qui propose de
«voir, écouter, goûter, sentir, nous réjouir...».
Prochainement en région lyonnaise.


Le bonheur, qui ne le désire?
Depuis toujours, les religions, les philosophies ont frayé des chemins.
Mais qu’en est-il pour nous, aujourd’hui, par ce temps de crises économique, sociale, spirituelle?
C’est à cette question que l'Atelier Fédéral Spiritualité de La Vie Nouvelle essayera de répondre en liant réflexion, échanges et exercices pratiques.
Cinq intervenants auront été mobilisés pour l'occasion:
. François Desplanques, poète et professeur de littérature,
. Fernand Dumont, formateur et thérapeute,
. Hubert Hausemer, professeur de philosophie,
. Fleur Nabert, sculptrice,
. Christine Wahl, ostéopathe et fasciathérapeute.

En bref
Quoi?
Une session de formation organisée par l'Atelier Fédéral Spiritualité de La Vie Nouvelle: «Ensemble, créons des chemins de bonheur: voir, écouter, goûter, sentir, nous réjouir...».
Qui?
Un organisateur: l'Atelier Fédéral Spiritualité de La Vie Nouvelle.
Cinq intervenants: François Desplanques, Fernand Dumont, Hubert Hausemer, Fleur Nabert, Christine Wahl.
Pour qui?
Session ouverte à tous (nombre maximum de participants: 45).
Quand?
Du 4 juillet au 9 juillet 2011.
Où?
«Les Cartières»
Route de la gare, 36
69630 Chaponost (région lyonnaise).

Combien?
Pour la pension complète et les frais pédagogiques...
. Membre de La Vie Nouvelle: 300 euros.
. Non membre: 325 euros.
. Campeurs: 215 euros.
«Des difficultés financières ne doivent pas être un obstacle à votre participation, n’hésitez pas à nous contacter.»
Mais encore...

2 commentaires:

  1. Après un an de crise politique plongeant la Belgique dans l’incertitude, nous voulons affirmer clairement que les citoyens de la périphérie bruxelloise aspirent à des relations apaisées, respectueuses de chacun et ouvertes à la diversité.

    Nous, soussignés, habitants de la périphérie, francophones ouverts au dialogue avec nos voisins néerlandophones, ne pouvons admettre que notre droit démocratique ne soit pas davantage pris en compte par le monde politique belge alors que pas moins de 150.000 Francophones, habitant parfois à quelques mètres de Bruxelles, région à part entière, capitale de l’Europe, capitale de la Belgique, voient leurs droits linguistiques, culturels et politiques remis en cause constamment par les autorités flamandes.

    Les instances supranationales, notamment l’Union européenne et le Conseil de l’Europe, ne cessent de s’indigner depuis plusieurs années des atteintes et menaces faites par les autorités de Flandre à nos droits fondamentaux, qu’il s’agisse du droit au logement, à l’enseignement, à la culture, à la propriété, de nos droits électoraux et judiciaires, et des restrictions à l’usage du français dans nos rapports avec les autorités publiques, locales, provinciales, régionales, restrictions qui vont parfois jusque dans la sphère privée.

    De même, par leur refus persistant de donner leur assentiment et de permettre la ratification de la Convention-cadre sur la protection des minorités nationales, en application des résolutions et recommandations des instances du Conseil de l’Europe, le gouvernement et le parlement flamands acquièrent une réputation peu flatteuse sur la scène internationale.

    Les habitants de la périphérie demandent, au regard des droits consentis à la minorité néerlandophone vivant en région bruxelloise, le respect de leurs droits fondamentaux tels qu’édictés par l’Union européenne (Traité de Lisbonne, Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne), le Conseil de l’Europe (Convention de sauvegarde des droits de l’homme et des libertés fondamentales, Convention-cadre sur la protection des minorités nationales), la Constitution belge, les lois sur l’emploi des langues en matière administrative, et la loi relative à l’emploi des langues en matière judiciaire entre autres.

    Nous appelons donc le monde politique à envisager les réformes institutionnelles de manière à garantir ces droits durablement et le respect des fondements de la démocratie.

    Le débat sur l’avenir de l’arrondissement de Bruxelles-Hal-Vilvorde, électoral et judiciaire, ne concerne pas que les 150.000 Francophones de la périphérie bruxelloise. Ce débat porte aussi sur un enjeu fondamental auquel tous les francophones de Bruxelles et de Wallonie – mais pas seulement eux : également tous les néerlandophones démocrates - doivent être sensibilisés : peut-on admettre que la frontière linguistique, en cas de scission de cet arrondissement, devienne la frontière d’un éventuel futur Etat unilingue flamand, lequel absorberait au mépris des principes démocratiques tant Bruxelles que sa périphérie, et priverait Bruxelles à la fois de son indispensable lien territorial avec la Wallonie et d’un réel équilibre linguistique au sein de la région centrale du pays ?

    ./...

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  2. ./...

    Nous refusons pareille hypothèse et nous voulons une société ouverte à la diversité culturelle, bilingue, plurilingue et cosmopolite. Nous exigeons un respect de nos droits, c’est à dire un statut administratif bilingue correspondant au modèle de la Région bruxelloise, au sein de laquelle nul n’est discriminé et chaque citoyen peut disposer de sa liberté d’expression et de ses droits fondamentaux.

    Qu’apporterait l’application de ce modèle dans les communes à facilités ? La fin de la contestation du régime des facilités par les circulaires Peeters et consorts, des discriminations électorales et surtout judiciaires, la fin des restrictions à l’accès au logement et à la propriété (décrets Wooncode et décret Wonen in eigen streek), une vie culturelle épanouie et un enseignement francophone qui ne soit plus remis en cause.

    Nous demandons que notre choix soit respecté et entendu par le monde politique. A cette fin, seule l’organisation d’une consultation populaire, à tout le moins dans les six communes périphériques dites à facilités qui pourraient ainsi décider de leur avenir, pourra bâtir un statut institutionnel légitime et durable, source d’une pacification communautaire que l’on peut espérer durable.

    Les signataires de cet appel invitent les citoyens à faire connaître massivement leur désir de voir une issue à la crise politique belge et leur détermination à encourager le monde politique à consulter les habitants de la périphérie bruxelloise afin de trouver une solution qui consacre respect mutuel, non-discrimination des citoyens, garantie des droits fondamentaux et ouverture à la diversité culturelle.

    Nous invitons tous les habitants de périphérie ou d’ailleurs qui partagent notre volonté de pacification à signer la pétition disponible sur le site info@appelcitoyenbxl.be


    Aline Bigwood, directrice d’école honoraire (Belgique)
    Marcel Bolle De Bal, sociologue, professeur émérite (ULB, Belgique)
    Bosquet de Thoran, membre de l’Académie de langue et de littérature françaises, Prix Rossel (Belgique)
    André Herchuelz, médecin interniste, professeur de pharmacologie (ULB, Belgique)
    Myriam Kerkhofs, Dr en Psychologie (Belgique)
    Ernest Laurent, professeur Dr Ir en sciences appliquées, retraité (Belgique)
    Jean-Gilles Lowies, politologue (Belgique)
    Jean-Marie Mommens, avocat (Belgique)
    Jean-Jacques Rombouts, médecin, professeur émérite à l’UCL (Belgique)
    Robert Wtterwulghe, professeur en droit et en économie (Belgique)

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