Il est fait
de communions
émotionnelles.
Nourri de la banalité
du quotidien.
Et attentif
aux humeurs du corps social.
C'est l'homo eroticus
du sociologue français
Michel Maffesoli (1).
A (re)découvrir
dans un livre homonyme...
Alchimies festives, culte du plaisir,
retour en puissance des affects et des émotions...
Eros triomphe.
Et nous enseigne que la profondeur se cache toujours à la surface des choses, dans la banalité de notre quotidien.
Et nous enseigne que la profondeur se cache toujours à la surface des choses, dans la banalité de notre quotidien.
Triomphe de la raison sensible sur
le vieux rationalisme scientiste.
Du vouloir-vivre collectif sur
l’individu.
De la joie dionysiaque sur les morales arides qui
stérilisent l’action.
Triomphe, aussi, des pulsions et de l’imaginaire sur le
progressisme empesé de nos élites et la pruderie de nos bien-pensants.
Attentif aux humeurs et aux enthousiasmes sécrétés par le corps
social, cernant au plus près les vibrations du monde, Michel Maffesoli
consigne dans ce livre le résultat de trente ans de réflexion.
Un livre-manifeste.
Un livre-manifeste.
Qui chante l’éternelle jeunesse du monde.
Et annonce une rupture épistémologique destinée à renouveler en profondeur les conditions de la pensée philosophique.
Et annonce une rupture épistémologique destinée à renouveler en profondeur les conditions de la pensée philosophique.
(1) Michel Maffesoli, membre de l’Institut Universitaire de France, est
professeur de sociologie à la Sorbonne. Il dirige le Centre d’Études sur
l’Actuel et le Quotidien (CEAQ) et le Centre de Recherche sur
l’Imaginaire (CRI). Toute son oeuvre est une description de la société
postmoderne.
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